Durant le premier trimestre de l’année 2024. Nous souhaitons réunir une trentaine de représentant·e·s de l’ensemble des associations professionnelles mais aussi de la RTS ainsi que des spécialistes.
La lutte contre le harcèlement moral et sexuel, le respect des conditions d’engagement sur les tournages et la diversité (genre, relève) dans les équipes. Nous essayerons de dégager des recommandations auxquelles l’ensemble des parties souscrivent. Lors de la table ronde, l’idée d’une charte a été évoquée, c’est l’une des pistes à explorer.
On vise l’action et la mise en œuvre rapide de solutions qui vont avoir un impact concret. L’enjeu n’est pas seulement autour de ce que Cinéforom peut faire, mais de travailler entre toutes les entités.
Il est trop tôt pour indiquer un calendrier précis, mais nous informerons régulièrement sur l’avancement des travaux. C’est un chantier au long cours, transversal, qui mobilise des efforts collectifs.
Non, on a reçu beaucoup d’échos très favorables. On ressent un besoin à tous les niveaux de la société de se questionner sur la diversité. Du côté des collectivités publiques romandes, notamment du canton et de la ville de Genève, il y a des injonctions claires pour que les bénéficiaires de subventions se mettent en conformité avec la loi sur le travail, et Cinéforom, en tant que fonds de soutien public, a aussi un rôle à jouer à ce niveau.
Propos recueillis par Teresa Vena
22 septembre 2023
Adrien Kuenzy
22 septembre 2023